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  • Levothyrox : l’ambition cachée de Merck, la conquête du monde
    L’ambition cachée de Merck : la conquête du monde
    Info « Les Jours ». Des documents prouvent que le changement de formule du Levothyrox s’inscrit dans une stratégie globale du labo.
    1er mai 2018
    Épisode n° 5
    Texte Aurore Gorius Photo Sepp Spiegl/Ropi/Réa
    La playlist

    Ce n’est pas la simple demande de l’Agence du médicament, l’ANSM, qui a conduit Merck à produire la nouvelle formule du Levothyrox qui a généré une crise sanitaire et un record de signalements d’effets secondaires en France depuis son lancement en mars 2017 (lire l’épisode 1, « Levothyrox, la crise sanitaire qui ne dit pas son nom »). Contrairement à l’argumentaire du laboratoire pour justifier ce changement, qu’on peut notamment retrouver dès le premier point de ce document spécial déminage, concocté par son service com. En réalité, la nouvelle formule s’inscrit au cœur d’une opération commerciale à l’échelle mondiale que Les Jours sont en mesure de révéler, grâce aux documents datant de 2014 et de 2015 planifiant son arrivée sur le marché, auxquels nous avons eu accès. On y découvre que la France est le point de départ d’une stratégie de conquête de nouveaux marchés sur quatre continents. Après son lancement dans l’Hexagone et l’extension de la nouvelle formule à toute l’Europe, le laboratoire prévoit de viser la zone Asie-Pacifique, en particulier la Chine, mais aussi les États-Unis et l’Amérique du Sud, notamment le Brésil – ces deux derniers pays figuraient déjà comme cibles prioritaires dans la feuille de route 2014, retirée du site de Merck après sa publication par Les Jours, mais toujours disponible ici. Enfin, la dernière étape est censée amener le laboratoire à l’imposer en Afrique et au Moyen-Orient.
    ANSM
    Le siège de l’ANSM, à Saint-Denis — Photo Luc Nobout/IP3.

    Avec le Levothyrox nouvelle formule, l’objectif du laboratoire est de « devenir un produit de référence dans le plus de pays possible », indique l’un des documents que nous avons pu consulter. Et pas seulement en France ou en Europe. La stratégie de Merck ? Inonder le marché mondial avec un médicament de meilleure qualité – plus stable dans le temps, comme l’avait demandé l’ANSM en février 2012, dans une lettre signée par le professeur Philippe Lechat (lire l’épisode 13 de la série Les lobbyistes). À l’exception des États-Unis, où cette évolution a déjà eu lieu, la nouvelle formule devient ainsi « le seul et l’unique produit » à respecter ce nouveau standard de qualité. Autre avantage de cette nouvelle formule, selon le laboratoire : contourner la « phobie du lactose ». Cet excipient a été retiré et remplacé par l’acide citrique et le mannitol. Cette « phobie » touche de plus en plus l’Europe, mais plus encore l’Asie, où l’intolérance y est plus importante.

    Le Levothyrox est un médicament vieillissant, dont le prix a été revu à la baisse au fil des années. Merck tente donc de lui donner « une nouvelle jeunesse »…

    Il faut resituer cette vaste opération de conquête de nouveaux marchés dans un contexte économique plus large. Le Levothyrox est un médicament vieillissant à qui Merck tente de donner « une nouvelle jeunesse », explique une source proche du dossier. Comme pour beaucoup de produits dits « établis », qui sont commercialisés depuis plusieurs décennies en Europe, son prix a été revu à la baisse au fil des années par le jeu de la concurrence, en particulier des génériques. Mais aussi via les négociations successives avec les autorités nationales de santé, qui cherchent à minimiser les coûts. Résultat, sur ces marchés dits « matures », le Levothyrox rapporte beaucoup moins qu’avant. Ses prévisions de rentabilité sont orientées à la baisse, sans perspective de relance car le nombre de patients concernés – près de 3 millions de personnes prenaient quotidiennement du Levothyrox il y a encore un an en France – a atteint un palier haut.
    Rassemblement de malades
    Rassemblement de malades devant l’usine Pathéon de Bourgoin-Jallieu, en Isère, qui sous-traite pour Merck la production de l’Euthyrox italien — Photo Allili Mourad/Sipa.

    Parfois, les laboratoires choisissent de tout bonnement arrêter la production de ce type de médicaments au rendement de plus en plus faible. À moins d’aller chercher des relais de croissance en les commercialisant sur les marchés émergents. Les prescriptions y sont encore très inférieures à celles pratiquées en Europe et pourraient concerner demain des millions de nouveaux patients… Les « produits établis » y ont une chance de dégager à nouveau un fort chiffre d’affaires. Et les laboratoires ont besoin de cette manne pour financer leurs innovations, en particulier pour développer les médicaments anti-cancer promis dans un avenir proche, enjeu économique crucial mais onéreux.

    Merck prévoit de nouvelles plaquettes 100 % aluminium, plus résistantes à la chaleur et à l’humidité. Une façon de faciliter l’exportation dans les pays aux climats moins tempérés

    C’est la solution qui a été choisie par Merck pour son Levothyrox. Grâce à des standards de qualité plus élevés, le laboratoire espère décourager ses concurrents – s’aligner coûte cher… – et imposer son « vieux » médicament un peu partout. Merck ne prévoit d’ailleurs pas seulement de changer les excipients, il programme aussi la fabrication de nouvelles plaquettes d’emballage, sans plastique, 100 % aluminium, afin de renforcer la protection du produit contre la chaleur et l’humidité. Comme indiqué sur la notice des comprimés 100 microgrammes, les plaquettes tout en aluminium sont « à conserver à une température ne dépassant pas 30 °C », contre 25 °C pour les plaquettes incluant du plastique. Ces nouveaux emballages visent donc à améliorer la stabilité du produit mais aussi à faciliter l’exportation dans les pays aux climats moins tempérés qu’en Europe.
    Laboratoire Merck de Nantong
    Dans le laboratoire de Merck à Nantong, en Chine — Photo Xu Congjun/Xinhua/Réa.

    Problème, tout à sa stratégie industrielle, le laboratoire semble en avoir un peu oublié les patients. « Il y avait la volonté d’arriver au produit scientifiquement parfait. Mais la problématique clinique a été éludée. Le médicament a été développé sans lien avec le réel. La sécurité du produit n’a pas été vérifiée sur les patients », estime une source ayant travaillé au lancement de la nouvelle formule. En effet, comme nous l’avons déjà écrit (lire l’épisode 12 de la série Les lobbyistes), le laboratoire n’a réalisé qu’une étude de bioéquivalence, qui mesure si l’absorption du produit est similaire entre l’ancienne et la nouvelle formule, sur des cobayes… en bonne santé. Et non sur des malades de la thyroïde.

       Cela révèle la faiblesse des départements “affaires médicales” dans les laboratoires. Censés représenter l’intérêt des patients, ils sont souvent inféodés à la logique marketing.
       Un cadre de l’industrie pharmaceutique qui a requis l’anonymat

    Des études cliniques, mesurant les effets réels sur les patients, auraient pu être menées à différentes étapes. Les labos les pratiquent avant, pendant ou après la commercialisation de leurs nouveaux médicaments. Pour la nouvelle formule, Merck s’en est tenu à l’obligation légale : l’étude de bioéquivalence était l’unique passage obligé, car seuls les excipients changeaient, mais pas la molécule. « Sur un produit sensible, dont on sait que de petites variations peuvent avoir des effets importants sur les patients, Merck aurait dû aller plus loin. Cela révèle aussi la faiblesse des départements “affaires médicales” dans les laboratoires. Censés représenter l’intérêt des patients, ils sont souvent inféodés à la logique marketing », déclare un cadre de l’industrie pharmaceutique qui a requis l’anonymat.

    Aucune étude supplémentaire n’a été exigée, non plus, par l’Agence du médicament en dépit d’un nombre de signalements d’effets secondaires record. Sous son impulsion, un projet d’étude clinique est en préparation du côté de la Société française d’endocrinologie (SFE) – dont nous avions révélé qu’elle était notamment financée… par le laboratoire Merck (lire l’épisode 9 des Lobbyistes). Alain-Michel Ceretti, administrateur de l’ANSM représentant les malades, croit déceler une « idéologie scientifique » derrière la demande de l’agence en 2012. « Elle a exigé l’application d’une norme technique en ne se préoccupant pas suffisamment des malades », poursuit-il. Du côté du laboratoire, on sait maintenant que ses visées dépassaient les frontières françaises et que ses motivations allaient au-delà de la simple amélioration de la stabilité du produit.
    Thu 24 May 2018 03:33:05 PM CEST - permalink -
    - https://lesjours.fr/obsessions/levothyrox/ep5-strategie-commerciale-merck/
    Levothyrox Médecine Santé
  • Madame figaro et la médecine
    Le WTF du jour : C'est a pleurer de rire…ou pas.
    Wed 23 May 2018 12:06:04 PM CEST - permalink -
    - https://twitter.com/alexandra_gros/status/999216490212708352
    Charlatanisme Escroquerie Médecine WTF
  • Demorand - Coup de poignard dans le dos des kinésithérapeutes - Le Point
    Cette publication est le résultat d'un lobbying efficace de la part d'une profession en manque de cadre juridique.
    Mon 21 May 2018 06:43:07 PM CEST - permalink -
    - http://www.lepoint.fr/sante/kine/demorand-coup-de-poignard-dans-le-dos-des-kinesitherapeutes-21-05-2018-2220022_2467.php#xtor=CS2-346
    Charlatanisme Escroquerie Médecine
  • Nord: Les pompiers et l’hôpital de Roubaix condamnés pour un défaut de prise en charge d’un AVC
    Je ne parle pas des pompiers qui font un métier difficile dans des circonstances difficiles mais encore UNE FOIS les médicastres d'un hôpital sont impliqués dans une bavure et pour UNE FOIS ils sont condamnés  
    C'est suffisamment rare pour être souligné.
    Fri 18 May 2018 01:19:17 PM CEST - permalink -
    - https://www.20minutes.fr/lille/2272859-20180517-nord-pompiers-hopital-roubaix-condamnes-defaut-prise-charge-avc
    Bavure Médecine
  • Élevé sans hormones : pas vraiment - Le PharmachienLe Pharmachien
    «Je suis inquiet pour cet enfant. S’il a été « élevé sans hormones », est-ce que ça veut dire qu’il…

    … a été castré à la naissance ?

    … s’est fait enlever chirurgicalement la thyroïde, le pancréas, les glandes surrénales, l’hypophyse et l’hypothalamus ?

    … ne peut jamais manger de légumineuses, de riz, de soya, de noix, de céréales et virtuellement tous les végétaux puisqu’ils contiennent naturellement des phytoestrogènes ?

    … ne peut pas non plus manger de viande, même bio, puisque les animaux produisent naturellement des hormones qui se retrouvent dans leur viande et leur lait ?»
    Sun 13 May 2018 04:29:12 PM CEST - permalink -
    - http://lepharmachien.com/hormones-viande/
    Alimentation Biologie Médecine Santé
  • YouTube thumbnail
    VACCINS : Succès de santé publique ou poison ? - Pauline Maisonnasse - 13 février 2018 - YouTube
    par le Dr. Pauline Maisonnasse, docteur en immunologie. Chercheuse au CEA en Immunologie / Infectiologie travaillant sur des vaccins contre le VIH (Virus du Sida)

    Via un commentaire : Pour ceux qui voudraient sauter directement sur les parties qui traitent de l'aluminium : 1:03:05 Généralités sur l'aluminium vaccinal 1:30:45 Complément d'information et conclusion (temporaire) sur l'utilisation de l'aluminium dans les vaccins
    Sat 12 May 2018 07:20:48 PM CEST - permalink -
    - https://www.youtube.com/watch?v=kT4X1yHDPTw
    Médecine Vaccin
  • Edition de Metz ville | Erreur de diagnostic : chirurgien condamné
    Encore la clinique C.Bernard… et un médicastre impliqué dans l'affaire de Corentin.
    Je recopie in extenso.

    «La cour d’appel de Metz vient de condamner un chirurgien de l’hôpital-clinique Claude-Bernard pour avoir tardé dans le diagnostic d’un cancer du rectum. Dans son jugement, la cour relève plusieurs fautes à l’encontre du Dr  Pierre-Noël Chipponi – par ailleurs mis en examen depuis 2016 dans l’affaire de Corentin – et notamment, « l’absence de suivi et de visite post-opératoires [qui ont] généré un retard de plusieurs mois dans la découverte du cancer […] et la mise en œuvre d’investigations supplémentaires permettant la prise en compte de symptômes persistants […] mis en lumière en juillet 2003, alors qu’ils auraient pu l’être en août ou septembre 2002 ». Ce retard représente une perte de chance de survie de 15  %, estiment les juges de la première chambre civile.

    Sidiki Doumbia, anesthésiste à la clinique Claude-Bernard, est décédé le 28 août 2005 à l’âge de 52 ans. Trois ans plus tôt, il avait consulté son confrère Chipponi, spécialiste de chirurgie viscérale et gastrique. « Il avait confiance en lui, ils se voyaient tous les jours », raconte Louise, sa veuve. Six mois après son décès, elle se dit pourtant que « quelque chose clochait ». Le chirurgien avait opéré son mari en 2002 pour un abcès de la marge anale puis pour une fistule, un an plus tard, sans déceler de lésion cancéreuse. Saisie il y a une dizaine d’années, la justice n’avait pas donné suite sur la base d’une expertise judiciaire, qui excluait toute faute. Accompagnée par un nouvel avocat, Me Oudy-Bloch, Louise Doumbia refuse de laisser tomber et ils missionnent un expert à leur initiative. « Ses conclusions sont claires : le chirurgien n’a réalisé ni toucher rectal ni coloscopie. C’est pourtant le B.A.-BA en la matière », tranche l’avocat. Preuve de cette « négligence », Sidiki Doumbia avait consulté un autre chirurgien en juin 2003 qui, lui, pratiquait ces deux techniques habituelles. Diagnostic : un cancer du côlon à un stade avancé.
    Après la mort de Corentin

    La motivation de Mme  Doumbia est relancée en 2014, lorsque la clinique Claude-Bernard est secouée par le tragique décès de Corentin, 11 ans, des suites d’une opération de l’appendicite qui a tourné au drame. « Quand le nom de Pierre-Noël Chipponi est apparu dans l’actualité, je me suis dit qu’il fallait réagir », se souvient Louise Doumbia. En juin 2016, elle obtient de la cour d’appel de Metz une nouvelle expertise judiciaire, dont les conclusions sont un peu plus nuancées que la première. « Ce qui est intéressant, c’est que la cour d’appel est allée au-delà de ces deux expertises judiciaires et a pris le temps de reprendre la chronologie du dossier », assure Me  Oudy-Bloch. Pour sa défense, Pierre-Noël Chipponi avait notamment affirmé avoir réalisé un toucher rectal et une coloscopie, mais sans effectuer de compte rendu de ces actes parce qu’il n’avait rien décelé.

    « Le chirurgien n’a réalisé ni toucher rectal ni coloscopie. C’est pourtant le B.A.-BA. »»
    Tue 08 May 2018 11:52:32 AM CEST - permalink -
    - https://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-metz-ville/2018/05/08/erreur-de-diagnostic-chirurgien-condamne
    Bavure Corentin Médecine
  • CHU Leaks: des documents confidentiels accablent l’hôpital toulousain - Page 1 | Mediapart
    Toulouse.– Octobre 2016 : « Une journée de plus où nous rentrons chez nous avec le sentiment d’avoir bâclé notre travail et de réaliser la mise en danger des patientes et de nous, personnel hospitalier », écrit une soignante de l’hôpital Paule-de-Viguier.
    Sat 28 Apr 2018 04:47:59 PM CEST - permalink -
    - https://www.mediapart.fr/journal/france/030418/chu-leaks-des-documents-confidentiels-accablent-l-hopital-toulousain?xts=&xtor=EREC-83-%5BQUOTIDIENNE%5D-20180403&xtloc=&url=&M_BT=249457038579
    Bavure Médecine
  • Un "accident" (en fait, une bavure de plus) médical, un ! ! !
    Quand ce n'est la mort qui attend les clients des hôpitaux, c'est le handicap lourd. Et bien sûr sans la moindre conséquence le médicastre et son équipe de merde. La routine quoi…

    Et ces enfoirés qui osent se plaindre. Bande minables.
    Sat 14 Apr 2018 05:07:09 PM CEST - permalink -
    - https://twitter.com/TilltheCat/status/984765493021237249
    Bavure Médecine
  • Ce qui est humain. | Alors Voilà.
    Le mec, il n'a eu QU'UNE mise à pied, j'espère bien qu'il lui sera interdit d'exercer à vie… Les erreurs médicales, c'est 61000 morts par an…vingt fois plus que de morts sur la route.

    Via https://my.shaarli.fr/dave_idem/?DuRN2g
    Fri 13 Apr 2018 10:43:47 PM CEST - permalink -
    - https://www.alorsvoila.com/2018/04/13/ce-qui-est-humain/
    Bavure Médecine
  • Prison avec sursis après une bavure médicale Orléans DE NOTRE CORRESPONDANT - Le Parisien
    C'est vieux (2000)
    Tue 10 Apr 2018 11:27:25 AM CEST - permalink -
    - http://www.leparisien.fr/faits-divers/prison-avec-sursis-apres-une-bavure-medicale-orleans-de-notre-correspondant-25-05-2000-2001397699.php
    Bavure Médecine
  • Carte de professionnel de santé — Wikipédia
    D’après ce j'ai lu dans les annexes de l'article, même les apprentis médecins ont cette carte.
    Sun 01 Apr 2018 02:50:09 PM CEST - permalink -
    - https://fr.wikipedia.org/wiki/Carte_de_professionnel_de_sant%C3%A9
    Médecine NFC RFID
  • VIDEO. "La dame m'a hurlé dessus" : une patiente raconte l'accueil glaçant des médecins pour un diagnostic d'endométriose
    Et que l'on ne vienne pas me dire que c'est dû à leurs excuses habituelles : Manque de moyens, tout ça quoi…
    Dans ce genre de cas, il n'y a qu'une solution : Cracher à la gueule de la pute qui te hurle dessus parce que si tu la frappes c'est une GAV garantie.
    Sat 31 Mar 2018 07:26:58 PM CEST - permalink -
    - https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/video-la-dame-m-a-hurle-dessus-une-patiente-raconte-l-accueil-glacant-des-medecins-pour-un-diagnostic-d-endometriose_2682128.html
    Bavure Médecine
  • Morte chez elle : l’hôpital de Mercy en cause ?
    Copie de l'article du républicain lorrain sur une bavure. À Metz les hôpitaux sont puissants et quelques articles ont disparus:

    Un habitant du pays de Briey a déposé plainte pour homicide involontaire. Son épouse est décédée à leur domicile alors qu’elle s’était présentée aux urgences de l’hôpital de Mercy. On l’a renvoyée chez elle.
    ««Pendant trois jours, elle a souffert avant de mourir. » Le ton monocorde de Martial Demoncel laisse transparaître « un sentiment d’abandon. Quand on a été reçus aux urgences, ma femme et moi, on n’a même pas été considérés comme un numéro. »

    Myriam, 51 ans, est décédée trois jours plus tard, le 24 février, à leur domicile, après avoir quitté l’hôpital de Mercy « sans avoir vu le moindre médecin. Elle est morte d’une hémorragie vaginale. Ma femme baignait dans son sang quand je l’ai trouvée dans la salle de bains. Les pompiers et le Samu n’ont rien pu faire. Elle était déjà en arrêt cardio-respiratoire… »

    Martial vient de déposer plainte pour homicide involontaire. « Je ne veux accuser personne, ni même le médecin qui aurait dû l’examiner à l’hôpital. Mais pour moi, il y a eu un dysfonctionnement quelque part. Comment ma femme a-t-elle pu être renvoyée chez nous en l’absence d’examen ? Pourquoi n’a-t-elle pas été hospitalisée alors qu’elle était suivie à Mercy? Ils ont son dossier médical, ils savaient ce qu’elle avait. »

    Atteinte d’un cancer des os, après avoir combattu deux autres cancers quelques années plus tôt, Myriam est victime d’une perte de selles par le vagin, le 21 février, à leur domicile de Bettainvillers (pays de Briey). Son mari la conduit aux urgences de Mercy. Là-bas, elle ne voit « qu’une interne et une seconde personne qui n’est pas médecin. Elles parlent d’une suspicion de fistule. » Une connexion anormale entre deux organes.

    Myriam espère toujours être examinée par un spécialiste. « Elle voulait être hospitalisée en chirurgie ou gastro-entérologie. Mais après plus de cinq heures d’attente, des infirmières nous informent que le médecin compétent sort seulement du bloc opératoire. Il leur a dit au téléphone de ne pas hospitaliser ma femme et de la laisser rentrer à notre domicile car il n’y avait aucune urgence. » Martial montre son mécontentement. Son épouse est en pleurs. On leur promet de les rappeler le lendemain matin pour un rendez-vous en consultation. Celui-ci est fixé au 14 mars. Une date trop lointaine. Ulcéré, le couple appelle directement l’oncologue de Myriam. Celui-ci donne rendez-vous le 27 février. La Meurthe-et-Mosellane, qui prend des pommades et des ovules prescrits entre-temps par son médecin traitant pour calmer les douleurs, ne vivra pas jusque-là…

    « Je n’ai pas appelé l’hôpital après son décès. Pour qu’ils me disent quoi ? Je n’ai plus confiance en eux. Je veux désormais que la justice fasse son travail. » Martial laisse ressortir sa détresse intérieure : « Le matin, le soir, c’est dur, "ça" chiale. Myriam était une femme coquette, active, elle aimait ses petites-filles, elle dévorait la vie… »

    « Comment ma femme a pu être renvoyée à la maison en l’absence d’examen ? »
    Fri 30 Mar 2018 01:09:36 PM CEST - permalink -
    - ?HERYUw
    Bavure Médecine
  • Edition de Briey | Morte chez elle : l’hôpital de Mercy en cause ?
    Bien sûr que le médecin est en cause, lui a fait de la voyance par téléphone, je cite :
    « Mais après plus de cinq heures d’attente, des infirmières nous informent que le médecin compétent sort seulement du bloc opératoire. Il leur a dit au téléphone de ne pas hospitaliser ma femme et de la laisser rentrer à notre domicile car il n’y avait aucune urgence. »
    De plus qui est cette personne non médecin ? Je cite :
    « Là-bas, elle ne voit « qu’une interne et une seconde personne qui n’est pas médecin.»
    D'ailleurs est-il raisonnable de laisser un apprenti (interne) sans supervision d'un médicastre diplômé ?
    Encore une bavure de l'hôipital de mercy (ex-bon secours) à Metz.

    Copie de l'article : http://deleurme.net/liens/?HERYUw
    Fri 30 Mar 2018 01:03:49 PM CEST - permalink -
    - https://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-briey/2018/03/30/morte-chez-elle-l-hopital-en-cause
    Bavure Médecine
  • Levothyrox : pressions sur l’investigation des « Jours »
    u septième volet de notre enquête consacrée au Levothyrox, des pressions s’invitent dans l’investigation. Ce n’est pas un mais plusieurs courriers qui sont arrivés dans la boîte aux lettres des Jours la semaine dernière. Des missives en forme de recommandés avec accusé de réception, en provenance de l’Agence du médicament (ANSM) d’une part, et du laboratoire Merck, qui produit le Levothyrox, d’autre part. Les deux organisations ont décidé de nous écrire à quelques jours d’intervalle. Pas pour nous envoyer des mots doux, comme on s’en doutera. La première s’est fendue d’un droit de réponse, la seconde d’une menace de procès.

    L’ANSM nous envoie son droit de réponse par mail puis le diffuse sur les réseaux sociaux le 21 mars, jour de diffusion d’une émission de télé très attendue par les malades de la thyroïde

    Avant même le moindre courrier postal, l’Agence du médicament nous a d’abord adressé son droit de réponse par mail, le 21 mars en début d’après-midi. Elle s’est ensuite empressée de le diffuser sur les réseaux sociaux, une démarche pour le moins originale. Le choix du jour et du moment n’est sans doute pas complètement le fruit du hasard : nous sommes alors à quelques heures de la diffusion, en prime time, d’une émission de France 5 consacrée aux traitements de la thyroïde, très attendue par les patients – et qui a, elle aussi, soulevé les très nombreuses questions liées à cette crise. Cette opération de communication en forme de contre-offensive s’est poursuivie pendant l’émission, en réponse aux propos tenus en direct par les invités, via le fil Twitter de l’ANSM.
    Dominique Martin
    Dominique Martin, directeur de l’Agence nationale de sécurité du médicament — Photo Luc Nobout/IP3.

    La nouvelle formule du Levothyrox, lancée en France en mars 2017, a entraîné des milliers de signalements d’effets secondaires – idées noires, bouffées de chaleur, chutes de cheveux, crampes… comme le racontent les témoignages que nous avons recueillis dans l’épisode précédent (lire l’épisode 2, « Levothyrox : “J’étais tellement mal que j’avais envie d’en finir” »). La plupart des patients, des médecins et des pharmaciens n’étaient pas au courant du changement de formule. Mais plus d’un an après la crise, l’agence ne change rien à son discours officiel dans le droit de réponse qu’elle nous a adressé. Elle écrit que « la nouvelle formule du Levothyrox a été accompagnée d’une action d’information très importante des médecins et des pharmaciens ». Pourtant, son directeur, Dominique Martin, a reconnu dès octobre 2017 dans les colonnes du Parisien, que l’information avait été insuffisante…

    Le professeur Lechat, qui a demandé à Merck la nouvelle formule du Levothyrox, a auparavant travaillé pour le labo. Pas un conflit d’intérêts, nous dit l’ANSM

    L’information en vue du passage à la nouvelle formule a été mal organisée en dépit d’une réunion qui s’est tenue le 10 juillet 2015 à l’ANSM, avec des représentants du laboratoire Merck, comme nous le révélions dans le premier épisode de cette série (lire l’épisode 1, « Levothyrox, la crise sanitaire qui ne dit pas son nom »). Lors de cette réunion, il fut notamment préconisé d’instaurer des « paliers d’adaptation » pour une liste de catégories de patients à risques (malades du cancer, personnes âgées, femmes enceintes…). Dans son droit de réponse, l’agence assure avoir repris ces préconisations « dans toutes les communications » au moment du changement de formule. Au passage, elle confirme la tenue de cette réunion et notre information – ce n’est pas le moindre des paradoxes alors qu’elle prétend battre en brèche le reste de nos révélations.
    Philippe Lechat
    Le professeur Philippe Lechat a travaillé pour Merck avant de rejoindre l’Agence du médicament — Photo Chamussy/Sipa.

    Le conflit d’intérêts du professeur Philippe Lechat chiffonne particulièrement l’agence. Comme nous le révélions dans l’épisode 13 de la série Les lobbyistes, c’est cet expert, alors responsable de l’évaluation des médicaments de l’ANSM, qui a signé, en 2012, la lettre demandant à Merck d’élaborer une nouvelle formule du Levothyrox. Ce même professeur avait auparavant travaillé pour l’industriel, à la coordination d’une enquête européenne (CIBIS-III) publiée en 2005 et financée par le laboratoire, au sujet du Bisoprolol, molécule entrant dans la composition des bêtabloquants, à destination des malades cardiaques. L’agence réfute l’expression de « conflit d’intérêts » pour Philippe Lechat au motif qu’il s’est écoulé huit ans entre son travail pour Merck et sa lettre comme responsable de l’ANSM. Et celui-ci « n’a jamais travaillé pour le compte du laboratoire Merck au sujet du Levothyrox », ajoute-t-elle. La charte de déontologie de l’ANSM a pourtant une conception bien plus large des conflits d’intérêts : elle évoque notamment la nécessité de prévenir les situations dans lesquelles pourrait naître, autour d’un expert, « un doute légitime, même du seul point de vue des apparences ».

    Le président de Merck France nous a envoyé une lettre nous menaçant d’un procès en diffamation. Technique prisée des industriels pour museler les journalistes

    La révélation par Les Jours, document à l’appui, de ce conflit d’intérêts dérange aussi du côté de Merck. Le président des activités françaises du laboratoire, Thierry Hulot, nous a fait parvenir une lettre nous menaçant d’un procès en diffamation. On peut aussi y lire entre les lignes la menace de contourner le droit de la presse. C’est une tendance de plus en plus répandue chez les industriels pour museler les journalistes d’investigation. Vincent Bolloré, par exemple, attaque les médias qui enquêtent sur ses activités africaines. Il réclame ainsi 50 millions d’euros à France 2 devant le tribunal de commerce pour un sujet diffusé dans l’émission Complément d’enquête en 2016 et couronné du prix Albert-Londres l’année suivante. Ces procédures, même si elles n’aboutissent pas, ont pour objectif de décourager les enquêtes.
    Thierry Hulot
    Thierry Hulot, patron de Merck Biopharma France — Photo Éric Dessons/JDD/Sipa.

    Aussi appelées « procédures-bâillons », elles pourraient être encouragées par la loi « secret des affaires » approuvée en première lecture à l’Assemblée nationale le 28 mars. Une définition trop large du secret d’affaires permettrait d’attaquer en justice toute personne (lanceur d’alerte, syndicaliste, journaliste…) qui révèle des informations internes à une entreprise. Au cours des débats dans l’hémicycle, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a assuré que cette loi n’impliquera « strictement aucune restriction de liberté publique ». Quelques jours auparavant, dans une tribune publiée par le journal Le Monde, un collectif de journalistes, d’associations et de syndicats s’inquiétait : « Des scandales comme celui du Mediator ou du bisphénol A, ou des affaires comme les Panama Papers ou LuxLeaks pourraient ne plus être portées à la connaissance des citoyens ». En ce qui concerne Les Jours, il va de soi que notre enquête sur la crise sanitaire provoquée par la nouvelle formule du Levothyrox se poursuit et continuera à explorer toutes les pistes que nous avons commencé à investiguer.
    Fri 30 Mar 2018 03:49:40 AM CEST - permalink -
    - https://lesjours.fr/obsessions/levothyrox/ep3-pressions-merck-ansm/
    Bavure Levothyrox Médecine
  • www.fakemedecine.org
    Source https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne/le-telephone-sonne-21-mars-2018
    Thu 22 Mar 2018 01:05:02 PM CET - permalink -
    - http://www.fakemedecine.org/
    Charlatanisme Homéopathie Médecine
  • Bayonne: retour à l’hôpital du Dr Bonnemaison
    Thu 22 Mar 2018 06:44:06 AM CET - permalink -
    - http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/04/06/97001-20170406FILWWW00271-bayonne-retour-a-l8217hopital-du-dr-bonnemaison.php
    Bavure Médecine
  • Argent public : les mandarins de la Pitié Salpêtrière en question
    La médecine française...et ses escrocs...

    Une brève publiée ce matin par La Lettre A, dénonce les comportements de certains « mandarins », qui continueraient à user d’avantages dévolus aux médecins alors qu’ils sont à la retraite.

    L’article intitulé « AP-HP : quand les mandarins résistent à l’appel de la retraite », explique que certaines sommités de la médecine française n’hésiteraient pas à continuer d’utiliser les biens des hôpitaux publics pour leurs fonctions personnelles, quand bien même ils ne sont plus employés par l’organisme de santé.

    Ainsi, des bureaux, des lignes téléphoniques et même des secrétaires de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) seraient mis à contribution par ces mandarins, selon La Lettre A, qui précise que les services d’administration de l’AP-HP, à qui l’on demande d’effectuer d’importantes économies, sont embarrassés par « la situation de professeurs retraités mais toujours présents dans leur service hospitalier ».

    La brève cite même deux sommités, adeptes des plateaux de télévision, le pneumologue Bertrand Dautzenberg et le diabétologue André Grimaldi, qui « continuent toutefois d’utiliser bureaux, secrétaires et lignes téléphoniques mises à leur disposition, le plus souvent pour caler leurs apparitions sur les plateaux TV ou interview radio. »

    La question est désormais de savoir si cette découverte va changer quelque chose et si ces éminents docteurs vont être invités à payer leurs frais…
    Thu 15 Mar 2018 01:16:10 PM CET - permalink -
    - https://trustmyscience.com/argent-public-mandarins-de-pitie-salpetriere-en-question/
    Escroquerie Médecine WTF
  • La recherche scientifique sans conflit d’intérêt est-elle possible ?
    «En France, la ministre de la santé, Agnès Buzyn, a été accusée à l’automne dernier d’avoir pris des mesures favorables à son mari, Yves Lévy qui préside l’Inserm. Preuve en est que, malgré le train de mesures législatives adoptées au lendemain du scandale du Médiator, le problème de conflits d’intérêt, aussi bien dans le domaine institutionnel que dans la recherche et jusque dans la pratique médicale est loin d’être réglé.»
    Sat 24 Feb 2018 01:25:59 PM CET - permalink -
    - https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-du-jeudi-22-fevrier-2018
    Médecin Médecine
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