«Mais que l’on se rassure :« Les possibilités de collision pour les trois prochains survols [2017, 2046 et 2097, NDLR] sont trop minces pour qu’elles soient préoccupantes, soutient Paul Chodas, directeur du centre d’étude des NEO (CNEOS) du JPL. « Je compte sur les futures observations pour réduire encore la probabilité. »»