«Depuis longtemps, je veux faire un thread sur le nuage de Tchernobyl prétendument arrêté à la frontière. Une grosse majorité de Français sont persuadés que le gvt a menti à cette occasion
Je me demande ce qu’il en est dans ma TL, manifestement à l’écoute d’arguments pro-nuke»
En fin de sortie, j'arrive en bas d'une descente, et mon téléphone sonne. C'est mon cousin.
"- Oui alors je suis tombé dans la descente"
"- Ah merde, ça va?"
"- Oui oui, rien de grave."
"- Ah ouf, qu'est-ce-qu'il s'est passé?"
"- J'ai tapé le pare-brise d'une voiture."
"....."
Le présentateur du JT de TF1 affirme que Météo France a déplacé, en avril 1986, un anticyclone sur une carte pour tromper les citoyens sur les conséquences du nuage radioactif. C'est faux. Mais un reportage météo diffusé le 30 avril 1986 suggérait bien qu'un anticyclone ferait barrage au nuage.
« « Les analyses livrées par la préfecture sont hors de propos. Ce qui est recherché par exemple, ce sont des produits classiques comme le dioxyde d’azote qu’émettent les moteurs diesel. Donc vous ne risquez pas de trouver des taux dans l’air différent de la normale. Il faudrait savoir exactement ce qui a brûlé au sein de l’entreprise. Le directeur du site Lubrizol doit forcément savoir ce qui se trouve dans les stocks. À partir de ce moment, vous savez quoi chercher. J’imagine – ce n’est qu’une hypothèse qui demande à être confirmée, car nous n’en avons pas la preuve – qu’il puisse y avoir la présence d’organophosphorés [agents neurotoxiques NDLR]. Ceux-ci se retrouvent dans les lubrifiants à haute performance. »