Arrghh ! C'est l'une de mes mes plus grandes peurs : le syndrome d'enfermement mais il me semble qu'il est plus connu sous le nom de "locked-in syndrome".
Découvrant à 30 ans passés son autisme, Guillaume Paumier examine ce qu’il implique dans la communication avec les autres, notamment via Internet, et au sein des contributeurs de Wikipédia. https://guillaumepaumier.com/fr/2015/07/29/wikipedien-autiste/
Moi aussi, mais il y a également le sommeil qui m' a tiré de quelques mauvais pas quand j'exerçais mon ancien métier (dépanneur TV). Quand je butais sur un problème, je mettais l'appareil de coté et je lui consacrais une petite heure juste avant de rentrer chez moi.
Au réveil, il n'était pas rare que je pense à des pistes que j'avais oubliées de suivre la veille.
Ce truc m'avait été donné par le technicien itinérant ( en réalité, c'était un ingénieur) de chez Philips.
Je pensais l'avoir déjà "linké", mais non.
Ramachandran est celui qui a découvert comment soigner le phénomène du membre fantôme douloureux et il explique sa théorie, mais pas que ça.
« Harris Georgiou says independent component analysis reveals that about 50 independent processes are at work in human brains performing the complex visuo-motor tasks of indicating the presence of green and red boxes.»
Impressionnant !
via http://slashdot.org/
En même temps, associer sciences et tf1....laisse moi rire!
Il y a un scientifique qui disait que dans un livre de sciences, c'est la bibliographie qui est le plus important, or je ne vois aucun lien qui pointe sur l’article de PLOSone.
Je pense que c'est ça: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0105225
Pour plus tard.
<<Un certain nombre d'hypothèses ont été émises pour tenter de comprendre pourquoi, parmi les mammifères, les primates, et plus particulièrement l'homme, passent une période plus longue que les autres animaux à "l'ère enfantine".>>
<<A l’ère d’Internet, on peut se demander à quoi sert encore notre mémoire, puisque quelques clics suffisent à retrouver à peu près n’importe quelle information. A partir d’expériences contrôlées, des chercheurs américains ont justement pu montrer comment les technologies de l’information modifient notre processus de mémorisation.>>