«Une autre différence entre les systèmes judiciaires australien et français que j'ai découverte en discutant avec Brendon, et qui m'a rassurée, c'est que dans les affaires de sexual assault, en Australie, les avocats de l'accusé n'ont pas le droit de parler du passif de la victime. Je n'aurais pas spécialement stressé à l'idée que la défense fouille dans ma vie, parce que je ne vois pas ce qu'ils auraient pu y trouver de très croustillant (quoique, c'est leur job, donc on sait jamais). Mais j'aurais trouvé ça pour le moins désagréable qu'on me demande des justifications sur le fait que je sois allée chez un mec alors que je l'avais rencontré le soir même en boîte. Même si, on est d'accord, ça aurait été hors sujet. Simplement hors sujet.»
le récit complet :
http://www.slate.fr/story/186467/recit-temoignage-viol-sidney-justice-episode-1