Shaare your links...
11327 links
Lien de Dixie le trait plat Home Login RSS Feed ATOM Feed Tag cloud Picture wall Daily
Links per page: 20 50 100
page 1 / 1
9 results for tags Agriculture x
  • ChristopheB. sur Twitter : "Mardi soir, j'ai lancé un petit sondage dont voici les résultats : https://t.co/FDUzH2YOKd Je peux donc vous dire que la majorité a..." / Twitter
    «La chicorée est de la famille des astéracées, anciennement composées.
    Une famille qui regroupe des plantes aussi diverses que la camomille, le tournesol, le chardon, le chrysanthème ou donc la chicorée.»
    Thu 18 Nov 2021 04:45:39 AM CET - permalink -
    - https://twitter.com/agritof80/status/1063524269467029506
    Agriculture Biologie Botanique
  • 2 ans de dialogues, de pédagogie, de médiation…
    https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10220303929685881&id=1158086478
    Sun 29 Dec 2019 06:17:34 AM CET - permalink -
    - https://twitter.com/GeWoessner/status/1210646832231198720
    Agriculture Pesticide
  • Alimentation: comment la Chine a raflé le pouvoir mondial – International | L'Opinion
    La naïveté des français…
    Tue 23 Jul 2019 12:03:00 PM CEST - permalink -
    - https://www.lopinion.fr/edition/international/alimentation-comment-chine-a-rafle-pouvoir-mondial-193390
    Agriculture Alimentation DGSI Espionnage-étatique
  • Biodynamie et Anthroposophie | La Vérité sur les écoles Steiner-Waldorf
    Biodynamie, croyances et dérives sectaires
    Fri 24 May 2019 02:13:08 PM CEST - permalink -
    - https://veritesteiner.wordpress.com/2014/02/27/biodynamie-et-anthroposophie/
    Agriculture Religion Secte
  • Le Vietnam a interdit le glyphosate
    «on a toujours 781 principes actifs autorisés, et 27 interdits (selon ce que j'ai pu retracer.) Restent autorisés des produits à la toxicité avérée, interdits dans l'UE Comme l'atrazine (puissant perturbateur endocrinien), la roténone, le Spinosad. Autre question : par QUOI remplacer les 30 000 tonnes de glyphosate ? Spoiler : il n'y a PAS de réponse, selon l'Inra.
    Ajout, grâce à la collaboration d'@agritof80 : parmi une vingtaine d'herbicides autorisés au Vietnam, qui remplaceront le glyphosate, 9 sont interdits dans l'UE»
    Fri 17 May 2019 06:10:21 AM CEST - permalink -
    - https://twitter.com/GeWoessner/status/1128991141490307073
    Agriculture Glyphosate
  • la biodynamie et le ministre
    la biodynamie et le ministre. WTF pourquoi pas la magie blanche voire noire ?
    Ah j'oubliais l'autre conne http://deleurme.net/liens/?4R1RvQ
    Sun 28 Apr 2019 08:09:47 PM CEST - permalink -
    - https://twitter.com/emma_ducros/status/1122495345567707141
    Agriculture Pesticide Politique
  • [Alimentation] Le sacre du sain et du sans - SESAME
    «Nous avons constaté, sur le long terme, une montée structurelle des inquiétudes concernant l’alimentation (voir encadré « Ces peurs à l’étude »). En 1995, avant les premières crises de la vache folle, cinquante-trois pour cent des personnes interrogées dans nos enquêtes déclaraient que manger comportait un risque important ou très important. Ils sont soixante-quatorze pour cent aujourd’hui. Les individus ont pris conscience qu’il existait un lien fort entre ce qu’ils mangent et leur santé, ce qui n’était pas du tout appréhendé auparavant par la population française dont la culture alimentaire est centrée sur le plaisir. »
    Sun 24 Mar 2019 12:59:18 PM CET - permalink -
    - http://revue-sesame-inra.fr/alimentation-le-sacre-du-sain-et-du-sans/
    Agriculture Alimentation Pesticide
  • A thread written by @GrainHedger
    https://www.lopinion.fr/video/decryptage/agriculture-on-a-probleme-cu-166729
    http://cancerspreventions.fr/wp-content/uploads/2014/12/AGRICAN.pdf
    https://twitter.com/Europe1/status/935755189256114176
    Thu 03 Jan 2019 07:05:05 AM CET - permalink -
    - https://threader.app/thread/1080565040766431236
    Agriculture
  • Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé - LeMonde.fr
    Comme d'habitude sous ce gouvernement diriger par sarko-le-nain:
    <<Xavier Beulin n'est pas seulement à la tête du premier syndicat agricole. Il dirige aussi le groupe Sofiprotéol, "qui détient des participations dans plusieurs grands groupes semenciers français (Euralis Semences, Limagrain...)".>>
    L’intérêt d'un seul homme prime sur l’intérêt général. Casse toi pauv' con.


    «Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
    La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite.
    Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente.
    Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr.
    En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ».

    https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/29/pour-les-agriculteurs-ressemer-sa-propre-recolte-sera-interdit-ou-taxe_1610778_3244.html#ens_id=1610322

    La proposition de loi UMP porte sur les espèces protégées par un certificat d'obtention végétale, soit la quasi-totalité des espèces cultivées en France.

    Par Angela Bolis
    Publié le 29 novembre 2011 à 20h08, modifié le 29 novembre 2011 à 20h21

    Temps de Lecture 5 min.
    La réduction de la biodiversité se traduit par une perte de résistance aux diverses agressions de ravageurs et autres pathogènes, donc par un recours accru aux pesticides.
    La réduction de la biodiversité se traduit par une perte de résistance aux diverses agressions de ravageurs et autres pathogènes, donc par un recours accru aux pesticides. AFP/MYCHELE DANIAU

    Dans le champ de l'agriculture, l'usage libre et gratuit des graines ne sera bientôt plus qu'un doux souvenir rappelant des méthodes paysannes d'un autre temps. Surnommées "semences de ferme", ces graines étaient jusqu'alors sélectionnées par les agriculteurs au sein de leurs propres récoltes et replantées l'année suivante.

    Depuis plusieurs décennies, ces pratiques n'allaient déjà plus de soi lorsque ces semences étaient protégées par un Certificat d'obtention végétale (COV) – à savoir le droit de propriété des "obtenteurs" de l'espèce. Ressemer ces graines était théoriquement interdit. Mais cet usage demeurait, dans les faits, largement toléré en France. Il est désormais strictement réglementé par une proposition de loi UMP adoptée lundi 28 novembre par le Parlement.

    "Sur les quelque 5 000 variétés de plantes cultivées dans le commerce, 1 600 sont protégées par un COV. Ces dernières représentent 99 % des variétés cultivées par les agriculteurs", explique Delphine Guey, du Groupement national interprofessionnel des semences (GNIS). Or, environ la moitié des céréales cultivées étaient jusqu'ici ressemées par les agriculteurs, selon la CNDSF (Coordination nationale pour la défense des semences fermières). Presque toujours illégalement, donc. Mais le temps de "l'incertitude juridique" semble révolu : pour le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, ces semences "ne peuvent pas être libres de droit, comme elles le sont aujourd'hui".

       Ce qui change

    En fait, la proposition de loi du sénateur UMP Christian Demuynck transpose un règlement européen de 1994 sur la protection des obtentions végétales, jusqu'ici nullement en vigueur en France. Conséquence : les semences de ferme, jusqu'ici tolérées, sont désormais légalisées... à condition de verser une "rémunération aux titulaires des COV" – à savoir aux entreprises de semenciers –, "afin que soit poursuivi le financement des efforts de recherche et que les ressources génétiques continuent d'être améliorées", dit le texte de loi. En sont exemptés les petits agriculteurs produisant moins de 92 tonnes de céréales.

    Depuis 2001, cette taxe est appliquée pour une seule espèce : le blé tendre. Nommée "contribution volontaire obligatoire", elle est empochée par l'interprofession des semenciers. L'agriculteur doit payer 50 centimes par tonne de blé lors de la livraison de sa récolte. Ce système devrait donc être étendu à 21 espèces, dont la liste reste ouverte, assure Xavier Beulin, président de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles), sur le site du syndicat.

    En somme, pour Guy Kastler, délégué général du réseau Semences paysannes et membre de la Confédération paysanne, "pour la moitié des espèces cultivées – le soja, les fruits, les légumes… –, il est interdit de réutiliser ses propres graines, et pour l'autre moitié – céréales et plantes fourragères –, il faut payer pour ressemer."

       Vers une privatisation des semences ?

    Plusieurs associations écologistes et paysannes craignent ainsi une mainmise accrue de la filière semencière sur l'accès aux graines, via un droit de propriété étendu aux récoltes et aux graines qui en sont issues. Avec la taxe, "même les agriculteurs qui se passent des semences commerciales doivent payer pour ces semences", déplore Guy Kastler. Le militant redoute que la part des semences de ferme ne s'amenuise, à mesure que ces dernières deviennent plus chères et donc moins intéressantes pour l'agriculteur. Entre cette taxe et l'interdiction de ressemer ses propres graines, l'agriculteur est de plus en plus incité, non plus à produire, mais à acheter ses semences. D'où la crainte d'une dépendance accrue aux entreprises semencières.
    Newsletter
    « Chaleur humaine »
    Comment faire face au défi climatique ? Chaque semaine, nos meilleurs articles sur le sujet
    S'inscrire

    Mais du point de vue de Xavier Beulin, la contribution de tous à la recherche sur les espèces cultivées se justifie, dans la mesure où même les semences de ferme en sont généralement issues. Dressant un parallèle avec la loi Hadopi visant à "protéger les créateurs" de films et de musique, le président de la FNSEA estime qu'il est "normal que [ceux qui utilisent des semences fermières] participent aussi au financement de la création variétale, puisqu'ils en bénéficient".Opposé à cet argumentaire, le syndicat Coordination rurale relève sur son site que Xavier Beulin n'est pas seulement à la tête du premier syndicat agricole. Il dirige aussi le groupe Sofiprotéol, "qui détient des participations dans plusieurs grands groupes semenciers français (Euralis Semences, Limagrain...)".

       Vers une perte de biodiversité ?

    Autre crainte : l'impact de cette mesure sur la diversité agricole. Certes, ressemer une même variété – presque toujours issue de la recherche – n'accroît pas, a priori, la biodiversité. D'autant que "pour les grandes cultures, aucune variété utilisée n'est le fruit d'une conservation ancestrale ; toutes ont été développées grâce à la création variétale", souligne Xavier Beulin.

    Toutefois, ressemer sa récolte peut entraîner des variations dans l'espèce, et donc favoriser cette biodiversité, nuance Guy Kastler. "Des caractères nouveaux apparaissent, permettant à la plante d'être mieux adaptée au sol, au climat, aux conditions locales. Il est alors possible de réduire les engrais et les pesticides. A l'inverse, les semenciers adaptent les plantes aux engrais et aux pesticides, qui sont partout les mêmes." Ils tendraient donc plutôt à créer de l'uniformité dans les plantes, où qu'elles soient cultivées.

       Vers le régime du brevet ?

    Le COV est, en France, une alternative au brevet sur le vivant, en vigueur aux Etats-Unis par exemple. Ce droit de propriété intellectuelle est détenu par les entreprises ayant obtenu, par la recherche, les espèces cultivées, et qui jouissent donc du monopole de la vente des semences de cette espèce avant qu'elle ne tombe dans le domaine public – comme c'est le cas d'environ 450 d'entre elles en France. D'aucuns, comme Guy Kastler, craignent un glissement vers ce régime du brevet, en limitant le droit des agriculteurs d'utiliser librement les semences protégées.

    Toutefois, à la différence du COV, le brevet interdit complètement aux agriculteurs de ressemer leur récolte, indemnités ou pas, note Delphine Guey. C'est le cas des variétés OGM de la firme américaine Monsanto qui, selon Marie-Monique Robin dans le documentaire Le Monde selon Monsanto, a même créé une sorte de "police des semences" spécialisée dans la traque des agriculteurs semant ou échangeant illégalement les graines qu'ils récoltent.

    Autre différence avec le brevet, le COV permet aux obtenteurs d'utiliser librement une variété protégée pour utiliser ses ressources génétiques et en sélectionner de nouvelles. Ainsi, travailler sur un gène d'une espèce ne permet pas de la breveter et donc de se l'approprier totalement. Une distinction qui a permis, selon Delphine Guey, de préserver une diversité d'entreprises semencières françaises. Et donc de laisser aux agriculteurs un plus ample choix d'espèces à leur disposition. Toutefois, si le brevet des espèces vivantes n'est pas de mise en France, le brevetage des gènes des plantes y est, lui, de plus en plus pratiqué.

    Angela Bolis»
    Wed 30 Nov 2011 06:27:11 PM CET - permalink -
    - http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/29/pour-les-agriculteurs-ressemer-sa-propre-recolte-sera-interdit-ou-taxe_1610778_3244.html#ens_id=1610322
    Agriculture intérêt_personnel Lobby Loi_débile
Links per page: 20 50 100
page 1 / 1
Shaarli 0.0.41 beta - The personal, minimalist, super-fast, no-database delicious clone. By sebsauvage.net. Theme by idleman.fr.