Pour Me Eddy Arneton, l’avocat de la famille de la victime, ces résultats « laissent à penser que des erreurs de diagnostic ont été commises ».
« Ces fautes relèvent d’un manque de sérieux et non pas d’un manque de moyens », poursuit l’avocat, selon qui « l’hôpital tente d’échapper à sa responsabilité ».